23 février 2008
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Bientôt ce fut un roman : Les estropiés. Les fantômes de leur vie y dévoilaient leurs infirmités, les os cassés des existences.
A la fin, le narrateur échouait à raconter le monde à l'aveugle qu'il aimait.
Les pages étaient d'ombres, la chambre d'isolement, et la nuit d'attente.
Les amants, au bas d'un poème déliaient leurs mains et disparaissaient dans le fond sans teint de reflets amnésiques.
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